Catastrophe au Brésil, barrage minier qui a cédé et provoque une pollution monstre

L'homme s'autodétruit petit à petit, par la même occasion engrène la terre dû à ces foutues catastrophes écologique.

Des images en vidéo que je vous partage, des images qui donnent mal au ventre...







Source: Le Parisien TV

Oui, c'est une véritable catastrophe écologique . J'entendais ce soir, qu'il faudra 30 ans pour que le fleuve retrouve sa couleur d'origine

la cop 21 ne peut pas mieux tomber...mais bon c'est messieurs ont d'autres chat a fouetter . il n'ont que faire de lécologie !

bref, encore un drame qui vient s'ajouter a une longues listes ....

Ce qui me fais bien marrer concernant le Cop 21 dont ont en entend parler si intensément aujourd'hui ?

C'est des grosses entreprises privé qui financent cette fameuse rencontre entre tout les présidents du monde !  Bravo

Vous imaginez vraiment que ces chers Messieurs vont mettre des bâtons dans la roue de l'économie de TOTAL par exemple ?


FOUTAISES !

C'est vraiment la honte cette catastrophe, pauvre population ! Le pire c'est que l'entreprise exploitante minimise son impact

c'est pas grave

les actionnaires n'auront qu'une lamborghini au lieu de la derniere ferrari et dans le pire des cas une porche pour les trajets quotidiens

les malheureux, je compatis et je suis attristé que cela leur arrive avant noel, le caviar sera un peu moins abondant

Ça y est. Il y a quelques jours, la vague de la mort a atteint l'océan Atlantique, terminant de tuer tout sur son passage et achevant, inéluctablement, la mort du Rio Doce, cinquième plus grand fleuve du Brésil.

Assassiné dans son lit, le "fleuve doux" — c'est son nom, en français — abritait une multitude d'espèces animales, de poissons, d'insectes, de reptiles et d'amphibiens en tous genres. Il apportait aussi la vie à un bon nombre de foyers situés tout le long de ses berges, pêcheurs, agriculteurs entre autres.

Le 5 novembre, un barrage de déchets de minerais de fer, appartenant à la compagnie minière Samarco, cède dans l'État Brésilien du Minas Gerais. La rupture du barrage entraîne une gigantesque coulée de boues toxiques qui a littéralement submergé le village de Bento Rodrigues situé en aval, faisant au moins 13 morts.

Puis, la coulée a continué à se répandre, sans que l'on puisse l'arrêter, descendant le long du fleuve jusqu'à l'océan (650 kilomètres) , répandant la mort sur son passage.



Cette photo a été prise le 24 novembre 2015 à Regencia, dans l'Etat d'Espirito Santo.




Il s'agit d'une vue aérienne de l'estuaire du Rio Doce, là ou le fleuve se jette dans la mer...




Il y a quelques jours, la boue toxique charriée par le fleuve a finalement atteint la mer, tuant tout sur son passage. Depuis, les matériaux toxiques continuent à se déverser, sans que l'on ne puisse rien faire pour l'arrêter...




Le Rio Doce est le cinquième plus grand fleuve du Brésil. Il apportait de l'eau et de la nourriture à des milliers de foyers.




Un barrage de déchets de minerais de fer a cédé le 5 novembre dans l'État Brésilien du Minas Gerais, libérant une gigantesque coulée de boues toxiques.

La coulée s'est répandue sur  650 kilomètres, dévastant des pans entiers de forêt tropicale protégées




La vague de boue a totalement submergé le village de Bento Rodrigues qui se trouvait en aval du barrage, faisant au moins 13 morts.





Ce drame environnemental et humain a laissé 80.000 personnes sans eau, sans compter les milliers de personnes qui se sont retrouvées sans foyer...




Et bien sûr, cette catastrophe touche directement ceux qui vivaient de la générosité du fleuve, les pêcheurs mais aussi les agriculteurs qui irriguaient leurs champs grâce à ses eaux.




Ce chien, pris au piège dans l'épaisse boue rougeâtre, a pu être sauvé.






Un autre sauveteur calme un cheval embourbé, en attendant des renforts pour l'aider.





Dans ce cercueil, un petit garçon de cinq ans, emporté par les eaux. Il s'agit de la plus jeune victime de cette tragédie.





Toute la ville est recouverte d'une épaisse couche de boue, comme en témoigne l'image de cette balançoire embourbée de déchets toxiques.




Bien sûr, outre le drame humain, il s'agit d'une catastrophe environnementale sans précédent. Avec la coulée de boue toxique, des milliers d'animaux aquatiques ont connu une mort lente et douloureuse. Certains agonisent encore dans la boue.




Suffoquant, incapables de respirer, les poissons agonisants remontaient à la surface, tentant de grimper sur les pierres brûlantes dans un dernier geste désespéré pour survivre.  




Tous les êtres vivants meurent dans d'abominables souffrances. Des plus petits planctons aux plantes, en passant par les crevettes d'eau douce, les micro-organismes, les tortues, les poissons...




Espèces endémiques, protégées ou non, la vague de la mort ne fait pas le distinguo.





Le Rio Doce est officiellement mort. Il a fait place à un immense un bourbier stérile à l'odeur fétide, il ne reste plus rien. Plus que les pierres et la boue. Tout n'y est plus que mort, poison et souffrance.





C'est triste à en pleurer...  Pour ce pêcheur, ce fleuve était sa vie, celle de ses ancêtres, et le futur de ses enfants et de ses petits-enfants... À présent, il n'a plus rien.

c'est malheureux, mais cela vient du "tout pour le rendement financier"

on ne fait rien pour entretenir cela coûte trop cher, que ce soit au Brésil ou bien en France, on met des gens compétents au chômage parcequ'ils coûte trop cher à l'entreprise ou bien à l'etat.....

Par contre, le prix des reunions aux seychelles ou bien les colloques dans des palaces pour ces messieurs les rentiers, cela ne rentre pas en ligne de compte.

Il faut que ces messieurs les actionnaires se gavent de plus en plus chaque année sinon c'est la crise.

A l'heure du tout environnement on regresse mechamment.

On ne veut plus de paysans ni de chasseurs, resultat il n'y a plus rien en faune sauvage reellement sauvage. Toute la nature est sous antibiotiques et morphine.

pendant que ces pêcheurs mourront à feu doux et viendront peupler les faféllas de rio et du coup augmenteront les rangs des gangs, ces messieurs les biens pensant continueront à manger du homard au petit dejeuner et s'expatrieront dans des villes hautement sicurisées.

c'est toujours les mêmes qui trinquent, qu'on le veuille ou non. Aujourd'hui c'est au bresil mais demain?

Certains diront que c'est le brésil, mais il ne faut pas oublier que ce pays est au dessus de nous à tout les points de vue et même au rang mondial.

Par contre, et cela on ne le sera jamais, qui est derriere cette exploitation du barrage? Certainement , et par le jeu des sociétés ecrans, une firme internationale qui à son siége à Lausanne et dans le même batiment que le siége des pseudo-associations de defense de l'environnement ou bien des salles de reunion des G8 et G20

il faudrait que le petit peuple comme ils nous appellent, reprenne son destin en main et envoyer à la "potence" cette poignée de cons.
Ce n'est plus le vote qui a le pouvoir mais l'argent, à l'heure où dame nature nous envoie des signaux alarmant, nos écolos se battent pour le mariage pour tous

Qu'en je vois qui dirige cette mouvance, mamére, hulot.... des gens qui n'oublions pas étaient des présentateurs télés qui pour leurs émissions dites "nature" à bord d'un ULM faisaient tourner des dizaines d'hélicos autour d'eux pour l'image sur des zones où l'homme n'avaient encore rien détruits.

Redonnons le pouvoir aux VRAIS, ceux qui vient de la nature et qui nous donnent à manger, eux savent comment la nature fonctionne et non ces essayistes ou pseudo-experts en écologie qui n'ont jamais travailler avec dame nature et qui font entretenir leurs jardins à base de produits chimiques nocifs pourqu'il n'y ait pas une seule mauvaises herbes sur leurs terrasses en marbre noir